lancelot ou le déprimé de service

bon bah encore un coup de blues, je vous en fait part...
C'est le deuxième poème dans la série "déprime"..........

Emmène moi dans ta danse,
Reine de ma nuit,
Emmène moi dans ta danse
et achève moi, ô ma douce meurtrière

Emmène moi dans ton monde
là où tout n'est que cris et larmes
Emmène moi dans ton monde
et fais moi gouter aux plaisirs de la mort

Frappe moi, bats moi à mort
ôte moi le gout de vivre
lacère cette peau de ton fouet
puisque dorénavant elle t'apartient

Je ne suis qu'une âme errante
dans un monde qui n'est mien
je te vois, tu es là, viens à moi!
Emmène moi dans ton monde

Emmène moi dans ton monde
ö Reine de ma nuit
Emmène moi dans ton monde
ö douce déesse

fait moi gouter au plaisir de la mort
ôte moi la vie, elle m'est trop pénible
mes souffrances sont bien trop fortes
fais moi gouter à tout les plaisirs de la mort

Nouveau coup de blues=nouveau poème

je suis comme perdu
perdu dans un monde
monde qui m'echappe
m'echappe sans cesse

je suis comme un errant
errant sans fin
dans un monde assombri
assombri par une nuit eternelle

je suis comme sans vie
vie dont je perds chaque jour le sens
sens qui ne m'est d'ailleurs égal

je t'attends mais quand viendras tu
toi êlue de mon coeur
m'ôter ses chaînes qui pèsent sur mon coeur

je te reconnaitrais car à ce moment la
une douce tempête s'emparera de mon coeur
brisant ainsi les chaînes qui depuis trop longtemps
empêche mon coeur de battre

Qu'une tempête s'elève et brise enfin
les chaînes qui ont trop longtemps
empêcher mon coeur de battre

Mais quand viendras tu ????

A new poem et finis la déprime!!!! j'vois la vie en noir!!!! parce que lerose c'est moche!! Non je plaisante!!!!

Regarde moi,ô mortel,
m'élever dans cette sombre beauté
Regarde moi,ô mortel,
aller dans la nuit,sortir de cette clarté

Nuit de mes rêves
je te retrouve enfin,
Que le soleil à jamais se couche
et ne viennent troubler ma Nuit

Obscurité de mon coeur
le vent s'est levé,enfin
le jour s'en est allé
ton heure est enfin venue

voici mon coeur,je te l'offre
prends le à jamais et ne
le quitte jamais
douce noirceur de mon coeur

mes yeux se voilent, ô Obscurité
douce noirceur de mon coeur
je t'aperçoit enfin
viens à moi

Et ne me quitte pas
ô douce noirceur de mon coeur
reste à jamais sombre compagne
logé au plus profond de mon âme

Regarde moi,ô mortel,
m'élever dans cette sombre beauté
Regarde moi,ô mortel,
aller dans la nuit,sortir de cette clarté

Nulle part à l'horizon je te vois,
ô sombre gardienne de mon coeur
Nulle part à l'horizon je t'aperçois,
ô sombre lumière de mon âme

ô sombre gardienne de mon coeur,
tu me l'a emprisonné par ces chaines
que je ne puis briser et surtout
tu m'a ensorcelé

tu me l'a emprisonné par ces chaines
puis tu m'a laissé, abandonné
là dans mon désespoir, et mes larmes
trop souvent par ta faute ont coulées

Puis tu m'a laissé, abandoné
un orage soudain s'est abattu
un orage de violentes passions
finissant ainsi de m'achever

maintenant je suis là et je t'attends
je te suis fidélement devoué
ma tendre et douce beauté
viens rompre ces chaînes

maintenant je t'attends et je suis las
personne ne viendra me libérer
à jamais tu t'en est allée
sans même me regarder

Nulle part à l'horizon je te vois,
ô sombre gardienne de mon coeur
Nulle part à l'horizon je t'aperçois,
ô sombre lumière de mon âme

petite correction et réctification...

Nulle part à l'horizon je te vois,
ô sombre gardienne de mon coeur
Nulle part à l'horizon je t'aperçois,
ô sombre lumière de mon âme

ô sombre gardienne de mon coeur,
tu me l'a emprisonné par ces chaines
que je ne puis briser et surtout
tu m'a ensorcelé

tu me l'a emprisonné par ces chaines
puis tu m'a laissé, abandonné
là dans mon désespoir, et mes larmes qui
trop souvent par ta faute ont coulées

Puis un orage s'est abattu
un orage de violentes passions
de haine,d'amour et d'oppression
qui,à jamais ,m'ont fait perdre la raison

maintenant je suis là et je t'attends
je te suis fidélement devoué
ma tendre et douce bien aimée
viens rompre ces liens d'acier

maintenant je t'attends et je suis las
personne ne viendra me libérer
à jamais tu t'en est allée
sans même me regarder

Nulle part à l'horizon je te vois,
ô sombre gardienne de mon coeur
Nulle part à l'horizon je t'aperçois,
ô sombre lumière de mon âme

enfin, je l'ai trouvée... lancelot in love...

Ainsi lorsque l'orage fut passé,
lorsque ces passions de moi se sont échappées
s'est levé un nouvel été
et j'ai recommencé à espèrer

Ainsi lorsque je t'ai vue,
toute de noire vêtue
un feu vif,ardent s'est allumé
un feu bien trop longtemps refoulé

Les chaînes furent ainsi brisées
aussi je puis de nouveau respirer
la lune s'est enfin levée et
a ,de sa lumière, ma nuit embrasé

Mon coeur n'est plus qu'un vaste brasier
dont les flammes gêle ma pensée
Je vacille,je chancèle et je tombe
dans les bras de la folie des passions

....
J'aime beaucoup celui d'avant, le navire....
La fin me fait penser au Dormeur du Val, bien sur!

Laura a bien raison: Baudelaire et Rimbaud....

Le long de mes joues coulent des larmes
et de mon coeur tu n'entends les alarmes
je m'enfonce peu à peu dans le brouillard
je m'en vais il est trop tard...

Le dernier est très destructeur je trouve...
non, pas la ptite strophe mais selui d'avant....
Il se dégage une puissance ...

Regarde

Regarde bien dans ton coeur,
Ne te suis je qu'un inconnu?
Ai-je de ta vie simplement disparu?
Regarde bien, je pleure...

Et c'est sur l'océan de mes pleurs
que je quitte pour toujours ton coeur
Dans la lumière d'un soleil couchant
Je m'en vais, tristement...

Dans un univers onirique je me refugie
Dans une obscurité je me retrouve seul
Lentement je brode mon linceul
A la lumière des derniers jours de ma vie...

Dans mes rêves les plus fous,
Je n'osai le croire, ni l'imaginer
Je sentis la mort à mes côtés,
Je sentis son souffle froid sur mon cou!

Un ciel bleu dans les cieux
Un océan de larmes dans mes yeux
La lumière d'un soleil se couchant
Par terre, une mare de sang...

De mon corps la vie se retire


Ne la retenant pas, je m’assoie


Les yeux vides, le bras en sang


Je vois le sang couler





De mon cœur l’amour est parti,


Il s’en est allé, il s’en est enfuit,


Le regardant disparaître dans la beauté de la nuit


Je vois le sang couler…





Tout rêves, tout espoir s’est consumé,


Je me retrouve dans l’obscurité


Les yeux voilés par tes mensonges,


Je vois le sang couler





Comment ai je pu te croire ?


Comment ai je pu t’aimer ?


Comment a tu pu me croire ?


De mon bras, je vois le sang couler…





Assis face à moi même,


Je vois ma vie défiler

J’ai honte, mais c’est fini
Souffrir, mais dans l'éternité