Une petite nouvelle de SF qui se continuras plus tard

Cette nouvelle, est une nouvelle S.F. inspiré des problèmes de l’environnement.
Ceci est l’extrait d’un journal intime d’un adolescent qui perd son grand père, homme qu’il aimait beaucoup car il lui racontait toujours des histoires palpitantes.

Grand père

Grand père, voila que tu viens de mourir et c’est à moi que tu a adressé tes dernière parole. Tu es mort une semaine avant mes dix sept ans et je crois avoir compris que tu regrettais de ne pas pouvoir assister à la fête, mais tu y est tous présent dans nos cœur.
Malgré le faite que tu sois mort avant c’est toi qui m’as offert le plus beau des cadeaux. Cette histoire de ta jeunesse que tu m’as conté sur ton lit de mort. Moment si émouvant qu’il restera à jamais gravé dans ma mémoire. Je me souviendrais toujours de chaque mot que tu as utilisé, même ceux que je ne connaissais pas. Un de ces mot m’a le plus marqué et fait rêver, cette chose que j’aurais voulu expérimenter mais que je n’ai pus connaître qu’à travers tes yeux. Comment là tu d’écris, ha, oui, comment pourrais je oublier.
« Etendu blanche et froide que nous attendions tous avec impatience dans notre jeunesse et que nous avons vue disparaître avec tristesse, et avec elle la magie de noël. »
Qu’elle été déjà le mot qui le désignait. Ne…nei…neije ? Je ne sais plus, je ne l’avais jamais vue ou entendu avant que tu ne m’en parles ce fameux soir où, qu’elle été ton expression… « La grande faucheuse vient me chercher, elle, elle ne m’a pas oublié. »
Je me souviens aussi d’une chose farfelue que tu m’as racontée à propos d’eau qui tombé du ciel. Je me demande encore si tu ne m’as pas raconté des histoires. Mais je croyais la voir dans tes yeux donc j’accepte ce fait, c’été tellement étrange dans ta jeunesse.
Je me souviens de chaque mot.
« Entre fiston, je vais te compter des choses que j’ai vue quant j’avais ton âge mais que malheureusement tu ne verra jamais, quoi que tu y fasse. Je vais te parler des longues après midi que je passais à ne rien faire dans le jardin de mes grands parents à l’ombre d’un arbre en écoutant les oiseaux. J’ai conscience que tu ne comprends pas grand-chose mais essaye d’imaginer. Une petite étendu vert, c’est la pelouse, dessus pousse, grandis des plantes, comme celle au musée, mais en vrai pas en plastique, et là j’été dans l’ombre de ces arbres à écouter de petits animaux à plume qui chantaient, c’était leur langage. »
Oh, comme j’aurais aimé connaître çà grand père. Tu m’a aussi parlé de paysage de montagne, de très, très grand rocher, plus grand que les immeubles qui abritaient plein d’arbre mais pas les mêmes que ceux dans les jardins et puis il y avait aussi toutes sorte d’animaux et d’insecte, mais pas comme on en connaît aujourd’hui. Je me souvient aussi de ce que tu appelais la « pluie » ou la « flotte », « il pleut », « des trombes d’eau », « il pleut comme vache qui pisse », « pas le temps à mettre un chien dehors » et plein d’autres expression rigolote que j’ai malheureusement oublié pour parler de ce drôle de phénomène où l’eau tombait du ciel. Quand je pense que tu pouvais marcher en dessous, comme çà devais être drôle. Et cette chose blanche, quel dommage d’avoir oubliait le nom. Tu jouais avec en faisant des boules que tu lançais sur les autres sans que çà fasse mal et les autres faisaient pareil. Tu t’allongeais dedans, glissais dessus au moyen de toutes sorte d’objet bizarre…Que ta jeunesse devait être drôle et gai, tu pouvait aller dehors sans combi, nager dans les océan rester sous le soleil sans brûler avec juste un peut de crème, marché sous de l’eau, qui tombait du ciel !!
Alors que l’eau est si rare de nos jours que seul les riches peuvent en boire, sinon les autres boivent de la fabriquait. Ou alors pour les grandes occasion, comme à ton enterrement ou à mon anniversaire. Je me souvient tu disait toujours :
« Quand je pense que dans ma jeunesse, il avait tellement d’eau qu’on se baignait dedans, on en jetait même par les fenêtre, si j’avais su j’en aurais gardé en bouteille ! »
Comme j’aurais aimé connaître ton temps et toutes ces choses magnifiques qui vivaient librement. De belle plante qui poussaient toutes seules. Les seules choses qui poussent en dehors de dômes c’est du lichen. Ces dômes, ah, ces dômes ! Quant je pense que dans ta jeunesse on ne vivait pas dans des dômes mais à l’air libre…
Tu disais toujours :
« La génération de mes parents à trop misait sur le nature, elle gagnait de l’argent donc renchérissait, au détriment des génération future et voilà où nous en sommes. »
Mais tu est mort grand père, assez jeune pour nous tu n’avais que 117 ans mais je crois que la vie ainsi ne te plaisait plus. Quand je pense que pour toi c’était une éternité et, encore comme tu disais « L’éternité c’est long, surtout vers la fin. » C’était, d’après toi la phrase d’un homme célèbre de ton temps où chose encore étrange de ta jeunesse, on vivait rarement plus de cent ans alors qu’aujourd’hui, malgré les conditions climatique, mais grâce au progrès de la médecine le record et de 179 ans.

Slyde S. 1 août 2107 Parîsse (Paris dans ton temps où Paname…)





Je pense que je continuerais ce texte en y raccrochant d’autres histoire qui ne serrons pas forcément sur le même sujet, ou en l’améliorent avec d’autres anecdotes qui pourrait venir et qui sais, peut être, par des idées proposé par les lecteurs.

Oulala jsuis fatigué moi...

jlirai ça demain...

He oui pout toi fan, si tu existe quelque part dans ce triste monde qui est bien dur avec les artistes, je vais mettre un peut de la suite. Faut pas brusquer la chose, sa vient petit à petit.


Jules était un mec du nord, des environs de Lille. A l’époque où je l’ai rencontré il vivait sont 20^ème printemps. Il suivit un parcours scolaire normal, choisi la section littéraire, passa son bac et... partie sur les routes.

Il faut dire son éducation le portait à partir, l’amour et le respect de la nature, le gout pour la marche, l’admiration des beaux paysages, et comme lecture London, Kerouac,…. Et le jour où il annonça à ses parents qu’il prenait la route ils furent fière de lui, firent une grande fête la veille de son départ, se fut alors l’occasion pour lui offrir le vieux sac à dos de papa, les livres sur les plantes comestible de maman et toutes autres sortes de choses qui permettrai à fils de bien entreprendre son voyage.

Il me raconta aussi que ses parents étés d’anciens « beat ».

Toujours est-il que je l’ai rencontré un matin de printemps.

Ce jour là il faisait beau, le soleil chantait et les oiseaux brillaient. Je me promenais, errant de par les rues de la capitale, c’était un dimanche je me souviens, il faut dire, comment oublier le jour qui changea ma vie du tout au tout. Vos l’auriez vue, ha vraiment, il ne ressemblait à rien vêtu de fripes, et son sac énorme qu’il trimbalait avec tout son fatras. Nonchalant il descendait les quais à la recherche de quelque chose de frai à avaler. Le destin fut que se soit à moi qu’il demanda. Je l’amenais dons à un petit marchand de glace de ma connaissance non loin de l’hôtel de ville. Ce fut le début d’une longue amitié.



PS je garanti rien pour l'orthographe, si vous avez des pleintes, allez voir ailleurs...

C'est foireux hein comme départ?? Aissayons de reprendre çà...
Alors voyons, voyons...
Donc voilà, il faisssait beau, ils se sont rencontrés, oui mais après?


Le temps passait et les vacances d'été approchait à grand pas. Nous dessidâmes alors de partir ensemble pour voyager à travers le monde, mais la question été où? J'avais moi même passait mon permie il y a quelques temps ce qui nous facilité grandement la vie.
Nous finîmes par décider que j'empruntait la voiture de mes parents pour l'été, et partîmes dans la 205 de mes géniteurs vers l'Europe de l'Est. Nous nous dirrigeâmes d'abord vers Copenhague, pour ensuite redescendre ensuite vers Berlin, filer sur Prague, rejoindre Vienne, puis... On verra bien à ce moment là.
Nous partîmes donc début juin de Paris pour atteindre Copenhague dans deux jours, oui on avait décidé de prendre notre temps sur la route.
Au kilomètre cinq après les portes de Paris, nous prîmes notre premier autostoppeur. iul disait s'appeller Alain et voyager vers Lile pour rejoindre des amis. Il nous offri un plain arrosait d'un café, et nous le quittâmes à cette aire d'autoroute, nos chemins se sepparaient.


Poum poum poum, ouais c'est déjà un peu mieux. Surtout continuez de m'apporter votre aide...

AAAAAArg mais qui ma laissait écrire cette pale immitation de Kerrouack, dire que j'ai écris toutes ces choses, nul, pour juste un texte que j'avais écris en français et dont je suis très fière, donc plutôt que de vous l'ammenez lentement dans des textes nul je vous le met directe là tiens juste pour toi public.... y a un public?
YOUOU Y A QUELQU'UN qu'un qu'un qu'un...


C’était un matin comme on en fait plus. Un matin d’hiver recouvert par les brumes, portes de l’au-delà. Je ne voyais plus que le blanc au tour de moi. C’est alors que vint se sentiment de solitude, tranquillité. Aucun bruit ne venait perturber mon extase isolée du monde dans un paradis de solitude recluse, univers de nuages. Puis, peut à peut vint la douce odeur familière du feu. Avancent à tâtons pour éviter la tente je me retrouva vite devant ces flammes. Brasier préparait par mon camarade de voyage avec quelques bûches et diverses pommes de pain, l’odeur n’en été que meilleur. C’est dans ces moments que l’on se sent vraiment heureux. Entourait des gens qu’on aime, des gens qui nous chérissent. Cet Irlandais été comme un frère pour moi, grand et courageux il guidait notre esquif avec brio. Sa chevelure de feu faisait contraste avec le blanc environnent.

Repus, nous rangeâmes notre équipement le issa à bord de notre canoë et y primes à notre tour place. Nous naviguions depuis un certain temps déjà dans cette bulle de nuage où tout bruit été éteint et rendait notre périple magique et silencieux. Cela nous donnait l’impression d’être dans un autre monde. Seul explorateur d’un monde nouveau. Pourtant de ci de là nous venait des bruits étrangers. Puis, dans le ciel, ou, du moins ce que nous supputions l’être. Nous avions depuis le réveil perdu tout sens des directions, notre monde été un monde avec ses propres dimensions où nous nous étions perdu. Nous voguions selon un axe qui nous semblait droit. Dans ce ciel un orbe rouge laiteux apparut, puis au loin la silhouette fantomatique de roche et de conifères. Oui, nous voyons l’eau. La brume se dissipait tout comme notre béatitude. Plu tout redevenait réel, plus la tristesse nous habitait. Nous quittions un monde magique, de rêves, pour revenir dans le monde bassement réel. Notre sentiment glorieux d’exaltation disparaissait avec les dernière langues de brume sur les flots ; Le paysage n’en été pas moins magnifique mais il été réel et le triste bruit de nos pagayes se tachait bien de nous le rappeler.

Nous traversions depuis trois jours déjà un lac scandinave entourait de ses résineux juchaient sur leurs perchoirs rocheux. Cela donnait au paysage comme un air de légende et de féerie, mais d’un texte mélancolique. Digne du romantisme allemand. Cà et là gisait des cadavres de ces géants épineux abattues, jetés aux flots par une force destructrice.

Notre sentiment de plénitude nous avez quittait mais nous étions tout de même heureux de voyager, humains solitaires dans ce Cosmos de colosses de la nature. Nous avions eue toutefois de drôle de tête à tête comme l’élan qui est venue boire dans le même ruisseau de l’autre côté juste à deux maîtres en amonts ou, la fois où nous aperçûmes un ours sur le rivage d’en face. Nous en avons vus d’autre plus tard ou plutôt aperçu à travers les arbres. Nous vîmes aussi, mais plus rarement des petits mammifères comme des castors. Et plus rarement encore la vie humaine. Tout ceci nous permis de nous sentir seul au monde, sauvage et merveilleux.

Je me souviens encore des soirs au coin du feu quand nous entonnions des mélodies. Lui à la guitare, moi à l’harmonica. En particulier du soir où une flûte dans le lointain nous répondit. Il s’en suivit un dialogue musical jusqu’à tard dans la nuit. Mais le lendemain au levé du soleil la magie de la nuit été passée. Nous ne vîmes ni n’entendis à nouveau cette flûte.

Le soir dans mon lit je me rappelle de la rigueur du sol sous nos tapis de sol, des racines plaçaient sous notre tente. De la froideur des nuits et de la mélodie des gouttes sur notre tente quand il pleuvait.

Sous ma douche je me rappelle le froid du lac où nous nous lavions, nagions et faisions la vaisselle.

Nous étions libre et heureux sans attache matériel nous naviguions à travers le monde et notre pensée, refaisant le monde écrivant nos pensée. Il me rebaptisa Jack je le surnomma Buck. Je lui fis par de mes idées, il me nomma Everhade je lui dona alors le nom de « Talon de fer ».

La liberté est ce qui nous manque le plus c’est à elle que nous avions dédiait notre vie c’est pour elle que nous jouions, c’est pour elle que nous repartirons avec pour seul attache notre fraternité, nos vivres, notre tente, quelques vêtements chauds.

On dit que les voyages forge la jeunesse, il forgeât notre opinion. Nous sommes devenues tel LONDON vagabond à la recherche de la vérité, de la liberté procurait par nos voyages.



Héhéhé...

Spoiler:

Désolé je n'ai pas pu m'en empêcher...

Mouhahahahaharg, j'adore LA réaction à mes petites écritures....

Tout çà, tout un travail, des recherches,...
Et la seul chose qui marque c'est une phote déquritur, a croire qu'il y a que ça qui vous interrese...