...LoR...

Bon allez...roulement de tambour, je me lance...

(J'écris des poèmes quand je n'ai pas le temps d'écrire autre chose...les nouvelles, je finis par tourner en rond)



Au clair de lune
Le loup hurle sa peur
D’être lui-même sans douleur
D’être lui-même,figure d’ horreur

Au clair de lune
la femme se mire
Sans le miroir de nacre et tire
Sur ses cheveux déjà gris,…



Au clair de lune,
L’enfant cauchemarde
Sa mère accourt, le regarde,
Sans pitié, sans concession, hagarde.

Au clair de lune
L’océan résonne
De clameurs nocturnes
De chants lyriques, lugubres.



Commentaire exxxxplicatif: (y a besoin non?)celui la, c'est le dernier en date, écrit entre sommeil et cauchemard, ce qui explique sa construction aléatoire: il deborde de partout, il ne rime pas forcément...mais j'laime bien quand même.

Quand on aime, on ne compte pas (les pieds!)

Moi j'aime beaucoup

Joliment ecrit, je vous envie tous de savoir écrire des poème

Eiuh..c'est un cadeau empoisonné, d'écrire.
Sur le coup, ça te sauve la vie, et après ça te tue à petit feu.

LoR a écrit:

Eiuh..c'est un cadeau empoisonné, d'écrire.
Sur le coup, ça te sauve la vie, et après ça te tue à petit feu.

Je trouve ça encore joli, ce que tu écris xD

Oui, je sais que ça tue à petit feu.. écrire devient une obsession. Je comprend. Je ressens, même.

Chouette de mettre tout ça en commun...
Si tu ressens ça aussi...il va falloir que je poste des trucs...

J'envie ceux qui écrivent sans souffrir.(ceux la seulement)

va falloir que je cherche si ça existe...

Je trouve ça sensé.
Mais c'est parfois facile de sombrer dans...des méandres obscurs, va t-on dire, au lieu de se battre pour...des choses qui n'apparaitront surment jamais(un ex parmis tannnt d'autres: le bonheur, abstrait et inconnu...)

Si la souffrance inspire c'est un piège: ensuite on ne veut même plus être heureux, bien content de pouvoir écrire pour se soulager...

Cercle vicieux.

Hey! Ces petites discussions m'ont...poussé à écrire un ..nouveau roman peut être.

Noir au possible. *diversifier, diversifier, DIVERSIFIER...*

...La pureté c'est le diamant au coeur du charbon...car on en admire que mieux l'éclat...

histoire de pas m'arreter en si bon chemin je vais me faire une petite critique aussi.

la mise en page est assez rigolote, elle sert bien le poeme, et vu le texte favorise vraiment le côté tordu et étrange. le texte en lui meme est pas trop mal, il fait de super ruptures entre chaque strophe mais garde une continuité grace au vers récurent. c'est assez sympa.

bon apres le theme de certaines strophes est carément usé jusqu'à la corde et pas vraiment traité de maniere nouvelle, l'impression de déja vu persiste. sur certaines c'est beaucoup mieux mais ça gache un peu l'ensemble.

A propos de l'équitation.

Rallumer l'étincelle, car il est encore temps; pour ne pas se perdre dans un dédale de marches humides et obscures.
Rallumer l'étincelle, même si "rien ne sera plus jamais", même si j'ai perdu l'odeur du souffre sur ma peau.
Rallumer l'étincelle, la vie qui puise sa source dans le foyer chaud d'un animal.
Se voir à noveau quadrupède, étrange tandem d etensions et d'empathie.De dominations, de rapports interdits.
Ne plus vouloir. Rester tankée dans le sable, les talons enfoncés dans le sol.
Rallumer une étincelle qui n'existe déjà plus.
Se fondre en se mordant.
Trop se battre. Trop contre soi-même.
Se sentir se disloquer à cheval.
Trop se détruire . A chque tournant, chaque galop, chaque volte.
Se jurer de ne jamais, jamais remonter.
Et pourtant toujours s'y forcer.
Avoir envie d'autre chose.D'infiniment plusbeau, plus libre, plus possible.
Infiniment plus je, plus moi-cheval. Moins humain.
Retrouver le combat initial, égal.
Lui usant de sa force, moi de mes faiblesses.
L'avoir pour témoin d'une vie merveilleuse.
Le regarder brouter. Les muscles tendus par la mastication.
Sa part d'infini et de bonté sans fin.
De patience absolue.




Ces romances qui ne commencent jamais.

Parce que dans romances, il y a roman.

Un regard, quelques étincelles. On se plait.
On plait en face, là, regard inconnu, pays inexploré.
Jungle.
Demi-sourire qui se dessine, un peu timide, un peu narquois.
Un on-ne-sait-quoi qui attire. Sans prévenir.
A la POste, au ùarché, sur la plage, dans la rue, au café, au lycée.
Quand on ne s'y attend pas.
Quand on commençait à perdre toute confiance.
Un regard un brin appuyé, un geste prévenant...
Mais il faut déjà repartir,chacun de son côté, vers sa vie, ses amis, ses enfants...
Sans prendre le temps de donner raison aux sentiments.
Sans donner aux Hommes la possibilité de dire, de plaire,d'aimer, de séduire.
Monde tourbillonnant où chacun a sa place;juste celle-ci. S'il a le bonheur d'en avoir une.
Chassé-croisé de choses naissantes qui nous dévorent à chaque fois.

Le texte sur le cheval, c'est exactement ce que je suis en ce moment. Tu as ùis la peau sur les mots, mes maux.

Une passion peut-elle n'apporter que le bonheur? Ma passion me mine et m'engloutie. Peut-être que le tienne t'as encore plus touchée et démolie. Je ne sais pas.
Je pense que nous devons sans cesse avoir la force de combattre, même si ça devient désespéré. Je parle en connaissance de cause. Une cause dramatique et tellement... *pas de mot pour le dire*
Si tu veux Laura, envoie moi un MP.

Exactement. Je ne veux plus monter à cheval, plus plus jamais jamais jamais.
Et pourtant e minterai toute ma vie(si les finances le permettent).
C'est un paradoxe.

C'est une passion "qui mine et engloutit", as BaB said.

Je pense que les passions engendrées par des sentiments sont beaucoup plus douloureuses.